Concert 17/11

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NOIR C’EST NOIR / ALLUMER LE FEU

Noir c’est noir
Il n’y a plus d’espoir
Oui gris c’est gris
Et c’est fini, oh, oh, oh, oh
Ça me rend fou j’ai cru à ton amour
Et je perds tout

Si un mot peut tout changer je le trouverai
Il ne faut plus en douter, il faut essayer


Noir c’est noir
Il n’est jamais trop tard
Pour moi du gris j’n’en veux plus dans ma vie, oh, oh
Ça me rend fou de perdre ton amour
Je te l’avoue

Tourner le temps à l’orage
Revenir à l’état sauvage
Forcer les portes, les barrages
Sortir le loup de sa cage

Sentir le vent qui se déchaîne
Battre le sang dans nos veines
Monter le son des guitares
Et le bruit des motos qui démarrent

Il suffira d’une étincelle,
D’un rien, d’un geste
Il suffira d’une étincelle,
D’un mot d’amour
Pour…

Allumer le feu
Allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux
Allumer le feu
Allumer le feu
Et voir grandir la flamme dans vos yeux
Allumer le feu

L’AVENTURIER

Egaré dans la vallée infernale
Le héros s’appelle Bob Morane
A la recherche de l’Ombre Jaune
Le bandit s’appelle Mister Kali Jones
Avec l’ami Bill Ballantine
Sauvé de justesse des crocodiles
Stop au trafic des Caraïbes
Escale dans l’opération Nadawieb.

Et soudain surgit face au vent
Le vrai héros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L’aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L’aventurier contre tout guerrier

Dérivant à bord du sampan
L’aventurier au parfum d’Ylalang
Son surnom, Samouraï du Soleil
En démantelant le gang de l’Archipel
L’otage des guerriers du Doc Xhatan
Il s’en sortira toujours à temps
Tel l’aventurier solitaire
Bob Morane est le roi de la Terre.

Et soudain surgit face au vent
Le vrai héros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L’aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L’aventurier contre tout guerrier

ALINE

J’avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage, elle a disparu

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

Je me suis assis auprès de son âme
Mais la belle dame s’était enfuie
Je l’ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

QUAND LA MUSIQUE EST BONNE

J’ai trop saigné sur les Gibson
J’ai trop rôdé dans les Tobacco Road
Y’a plus que les caisses qui me raisonnent
Et quand je me casse je voyage toujours en fraude

Des champs de coton dans ma mémoire
Trois notes de blues c’est un peu d’amour noir
Quand je suis trop court quand je suis trop tard
C’est un recours pour une autre histoire

Quand la musique est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonne sonne sonne
Quand elle ne triche pas

Quand la musique est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonne sonne sonne
Quand elle guide mes pas

J’ai plus d’amour j’ai pas le temps
J’ai plus d’humour je ne sais plus d’où vient le vent
J’ai plus qu’un clou une étincelle
Des trucs en plomb qui me brisent les ailes

Un peu de swing un peu du King
Pas mal de feeling et de décibels
C’est pas l’usine c’est pas la mine
Mais ça suffit pour se faire la belle

Quand la musique est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonne sonne sonne
Quand elle ne triche pas

Quand la musique est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonne sonne sonne
Quand elle guide mes pas

MARCIA BAILA

Marcia, elle danse sur du satin, de la rayonne
Du polystyrène expansée à ses pieds
Marcia danse avec des jambes
Aiguisées comme des couperets
Deux flèches qui donnent des idées
Des sensations
Marcia, elle est maigre
Belle en scène, belle comme à la ville
La voir danser me transforme en excité

Moretto
Comme ta bouche est immense
Quand tu souris et quand tu ris
Je ris aussi, tu aimes tellement la vie
Quel est donc ce froid que l’on sent en toi?

Mais c’est la mort qui t’a assassinée, Marcia
C’est la mort, tu t’es consumée, Marcia
C’est le cancer que tu as pris sous ton bras
Maintenant, tu es en cendres, cendres
La mort, c’est comme une chose impossible
Et même à toi qui est forte comme une fusée
Et même à toi, qui est la vie même, Marcia
C’est la mort qui t’a emmenée

LA GOFFA LOLITA

L’autre soir, on profitait d’une bonne bouteille
Dans la vieille ville ajaccienne, quand elle est arrivée

Elle est entrée comme un mirage la tête haute
Ne s’souciant pas du regard des autres

Elle a traversé toute l’allée
Mais c’était qui ? (x5)
C’est qui ? (x3)

Mais c’est qui ?

C’était Loli, c’était Loli c’était Lolo, c’était Lola
C’était Loli c’était Lolo, c’était Lola
C’était la goffa Lolita
C’était Loli, c’était Loli c’était Lolo, c’était Lola
C’était Loli c’était Lolo, c’était Lola
C’était la goffa Lolita

Et j’attrape Lolita et je me prends une chapatte
Car les femmes du 20ème siècle méritent qu’on les respecte

Elle est entrée comme un mirage la tête haute
Ne s’souciant plus du regard des autres
Elle a traversé toute l’allée

Mais c’était qui ? (x5)
C’est qui ? (x3)

Mais c’est qui ?

Refrain

MON AMANT DE SAINT JEAN

Je ne sais pourquoi j’allais danser
A saint jean, aux musettes
Mais il m’a suffit d’un seul baiser
Pour que mon coeur soit prisonnier

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l’on croit toujours aux doux mots d’amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l’aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.

Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être,J’etais folle de croire au bonheur,
Beau parleur, chaque fois qu’il mentait,
Je le savais, mais, je l’aimais.


Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l’on croit toujours aux doux mots d’amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l’aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.

Mais hélàs, à Saint-jean comme ailleurs,
Un serment n’est qu’un leurre,
J’etais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son coeur.

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l’on croit toujours aux doux mots d’amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l’aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.

LE LAC DU CONNEMARA

Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C’est pour les vivants
Un peu d’enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C’est le décor
Du Connemara.

Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.
Sean Kelly s’est dit :
« Je suis catholique.
Maureen aussi. »
L’église en granit
De Limerick,
Maureen a dit « oui ».

De Tiperrary
Ballyconneely
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.


Y avait les Connor,
Les O’Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.

Là -bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là -bas, au Connemara,
On dit que la vie
C’est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.

Terre brûlée
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C’est pour les vivants
Un peu d’enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C’est le décor
Du Connemara.

On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.


On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu’on voit nager
Certains soirs d’été
Et replonger
Pour l’éternité.

On y voit encore
Des hommes d’ailleurs
Venus chercher
Le repos de l’âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.

L’on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,

L’on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.

Là -bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là -bas, au Connemara,
On n’accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d’Angleterre…

SALSA DU DEMON

(Horreur)
(Malheur)
(Aaaah)


Oui, je suis Belzébuth
Je suis un bouc, je suis en rut
Oui, oui, oui, je vis dans l’ordure
Je pue la sueur et la luxure

Je fume je bois, j’ai tous les vices
Et j’ai du poil partout sur les cuisses
Je vous déteste, je vous maudis
J’suis complèt’ment pourri

Quand j’vois un gosse, j’lui fous une claque
Quand j’vois une vieille j’lui piqu’ son sac
Je crache, je rote, rien ne m’arrête
Car aujourd’hui c’est la fête…

C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon
Salsa du démon
Salsa du démon
Salsa du démon

Oui, c’est moi Vampirella
Malheur à ceux qui ne m’aiment pas
Oui, oui, oui, mon coeur est en fer
Je fais l’amour comme une panthère


Mes amants, je les écorche vifs
Et je les fouette, je leur coupe le pif
J’fais des trucs cochons avec des chaînes
Aux minets du 16ème

Pourchassant les puceaux en fuite
Le démon du sexe m’habite
Venez là mes petits amis
Car c’est la fête aujourd’hui…
C’est la, c’est la, c’est la…

LES YEUX D’EMILIE

Moi, j’avais le soleil jour et nuit
Dans les yeux d’Emilie
Je réchauffais ma vie
À son sourire
Moi, j’avais le soleil nuit et jour

Dans les yeux de l’amour
Et la mélancolie
Au soleil d’Emilie
Devenait joie de vivre

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